1914
Claviers : 77 notes
Pédalier : 32 notes
Transmissions : pneumatiques pour les notes, électropneumatiques pour les jeux
Nombre de jeux : 46 (42 réels)
COMPOSITION
Grand-Orgue
Quintaton 16-16
Diapason 16-8
Flûte 16-8
Flûte d’orchestre 16-8
Bourdon 16-8
Violoncelle 16-8
Principal 8-4
Petite Flûte 8-4
Clarinette basse 16-8
Clarinette 16-8
Positif expressif
Principal 16-8
Cor de nuit 16-8
Dulciana 16-8
Salicet 8-4
Viole d’amour 8-4
Nasard 5 1/3-2 2/3
Doublette 4-2
Tierce 3 1/5-1 3/5
Septième 2 2/7-1 1/7
Contrebasson 16-8
Musette 16-8
Cor d’harmonie 16-8
Hautbois 16-8
Voix humaine 16-8
Récit expressif
Flûte traversière 16-8
Gambe 16-8
Viola 16-8
Eoline 8
Flûte octaviante 8-4
Fifre 4-2
Plein-Jeu 4 r.
Basson 16-16
Trompette harmon: 16-8
Cromorne 16-8
Clairon harmon: 8-4
Chamade
Tuba 16-8
Trompette 8-4
Célesta (5 octaves)
Pédale
Basse acoustique 32
Grosse Flûte 16
Contrebasse 16
*Soubasse 16
*Flûte 8
*Flûte 4
Tuba Magna 16
*Clarinette pédale 16
*emprunts au GO
Accouplements : GO, Positif/GO, Récit/GO, Chamade/GO, Récit/Positif, Chamade/Récit
Tirasses : GO, Positif, Récit, Chamade à l’unisson et à l’octave grave
Octaves graves Positif, Récit, Chamade
Octaves aiguës Positif, Récit
Trémolo Positif et Récit
Appel fonds Pédale
Appel combinaisons Récit
Prolongement harmonique basses et dessus GO, Positif, Récit
4 combinaisons ajustables
Crescendo
Note : cet instrument particulièrement novateur, construit pour Pierre Braunstein, compositeur et improvisateur talentueux, dans un buffet baroque espagnol, est malheureusement resté inachevé à la suite du décès de son commanditaire en 1914. On y retrouvait notamment le Cor d’harmonie inventé pour le Baron de l’Espée quelques années auparavant. Les claviers débutaient à l’ut 0 (soit une octave au-dessous de la normale) et terminaient au mi 6 (après le dernier ut des claviers de 61 notes). Tous les jeux se trouvaient ainsi prolongés d’une octave dans le grave, à l’exception des jeux de 16 pieds et de l’Eoline (jeu ondulant). Le buffet et certains jeux du Récit et de la Pédale ont été réutilisés pour la construction par Kleuker de l’orgue de la Grange de la Besnardière, sous la direction de Jean Guillou.
Sources :
Jean Huré, L’esthétique de l’orgue, Sénart, 1923
Les orgues d’Indre-et-Loire, ouvrage collectif, 2005