Monaco, cathédrale Notre-Dame-Immaculée

1921

Claviers : 61 notes
Pédalier : 32 notes
Transmissions des notes : mécaniques (avec levier pneumatique pour le Grand-Orgue)
Transmissions des jeux : mécaniques
Nombre de jeux : 50

COMPOSITION


Grand-Orgue

Montre 16*
Bourdon 16
Montre 8
Bourdon 8
Flûte harmonique 8
Viola 8
Prestant 4
Flûte octaviante 4

Quinte 2 2/3
Doublette 2
Tierce 1 3/5

Septième 1 1/7
Plein-Jeu 3 r.
Bombarde 16
Trompette 8
Clairon 4

Positif expressif

Cor de nuit 8
Flûte traversière 8
Salicional 8
Unda maris 8
Flûte douce 4
Flageolet 2
Voix humaine 8

Trompette harmonique 8
Clarinette 8
Soprano harmonique 4



*Gambe
**Quinte 10 2/3

Récit expressif

Quintaton 16
Diapason 8
Flûte harmonique 8
Viole de gambe 8
Voix céleste 8
Flûte octaviante 4

Octavin 2
Plein-Jeu 4 r.
Basson 16
Trompette harmonique 8
Basson-Hautbois 8
Clairon harmonique 4

Pédale

Basse acoustique 32**
Grosse Flûte 16
Soubasse 16
Violon-basse 16
Flûte ouverte 8
Bourdon 8
Violoncelle 8
Quinte 5 1/3
Flûte 4

Tuba magna 16
Trompette 8
Clairon 4


Accouplements à l’unisson : GO, Positif/GO, Récit/GO, Récit/Positif
Accouplements à l’octave grave : Récit/GO
Accouplement à l’octave aiguë : Positif/GO
Tirasses : GO, Positif, Récit
Appel fonds Pédale
Appel combinaisons GO, Positif, Récit, Pédale
Trémolo Positif

Note : cet orgue a été construit pour le baron de l’Espée en 1912 et comportait primitivement un ou plusieurs Cors de basset, jeu inventé par Mutin pour l’occasion. Racheté par un mécène qui le vendit à la cathédrale de Monaco, il perdit alors ses spécificités précédentes et adopta la composition indiquée ici. Après des modifications, effectuées en 1949 par Maurice Puget, puis une reconstruction en 1951 par le même, l’instrument fut remplacé par un orgue néoclassique de Boisseau en 1976, lui-même remanié par Tamburini en 1988, puis restructuré par Thomas en 2011.

Source : composition aimablement communiquée par le regretté Jean-Claude Guidarini